Rebattre les cartes,
re-co-naître.
Accueillir, écouter l’émotion et respecter sa parole,
car c’est nous, à travers elle, qui nous parlons à nous-même.
S’/apparaître à l’occasion de l’Autre,
observer le passé se réactualiser
pour panser nos blessures et cicatriser ;
devenir ce que l’on est,
dé-couvrir notre es-sens
ôter nos couches de superficialité
devenir « grand et fort » en souhaitant l’être moins.
Être en thérapie c’est agir, tout cela est action
de réparation, d’écoute, de naissance à soi, de respect, d’amour.
On se dévêt de nos pelures d’oignon,
notre soleil se lève et notre brume s’éloigne ;
l’on revêt alors une mince et perméable épaisseur de frontière
au sein de laquelle le réconfort est possible
au-delà de laquelle nous pouvons aller,
ou non,
et qui est le contraire absolu des murs de nos « prisons ».
La rage, accueillie, respectée, aimée pour ce qu’elle nous permet d’ex-primer/ plorer/ tirper,
redevient colère, formidable outil de transformation, témoignage de désir et de pugnacité.
Le désespoir, accueilli, respecté, aimé pour ce qu’il nous permet d’ex-primer/ plorer/ tirper,
redevient tristesse, formidable outil d’acceptation, témoignage d’endurance et de vivacité.
L’angoisse, accueillie, respectée, aimée pour ce qu’elle nous permet d’ex-primer/ plorer/ tirper,
redevient peur, formidable outil d’appréciation, témoignage de prudence et de sagacité.
Prenons soin.
Consulter aussi
QUOI? QUI? POUR QUI? POUR QUOI? ETC.
Quelle est votre approche? Je travaille avec la Gestalt-thérapie comme savoir-faire et sav…